Présents :
"Florence et Laurent GARNIER"
Compte-rendu :
"Nous sommes partis vers 15h de l’après-midi en voyant que le temps devenait plus radieux.
Dès notre départ de Marsannay, une pluie de grêlons nous cueille dans la montée de Corcelles-les-Monts.
Arrivé sur la montagne, le beau temps nous rattrape et ne nous quittera plus de la journée.
Nous nous rendons donc dans le Val-Suzon à la recherche d’une combe humide et nous nous retrouvons tout naturellement à gravir la Combe de Vaux de Roche.
Dès notre arrivée dans le val, nous constatons que le Suzon est en crue boueuse.
Nous le traversons sur un gué sans nous mouiller, simple poteau électrique en béton posé en travers de la rivière.
Les prés alentours ruissellent d’eau limpide.
Nous abordons le début de la combe qui est bien humide contrairement à l’an dernier.
C’est à cet endroit que nous commençons à fouler la forêt de long en large à la recherche de ces précieuses morilles tant convoitées.
Il fait frais en ces lieux et bizarrement aucune odeur de champignon ne vien effleurer nos narines.
En contrepartie, d’innombrables traces de sangliers démontrent formellement que ces derniers ont passé un certain temps à faire des repas pantagruéliques.
Déçus mais pleins d’entrain, nous décidons de continuer notre balade en amont.
Soudain, le ruisseau ne coule plus, il sort simplement d’un trou rempli de gravillons.
Nous continuons donc notre vaine recherche jusqu’à la source que nous avons pompé et désobstrué l’an passé.
Visiblement nous arrivons juste à temps pour la voir déborder, elle qui, habituellement, est à un mètre sous la surface du sol !
L’eau ruisselle et s’infiltre à travers le remblai de la combe. Tout de même on la voit bien qui avance dans son lit pour rejoindre petit à petit le chemin de gravillons.
Si seulement cette cavité avait un prolongement notable. Un coup de baguette serait certainement nécessaire pour se donner une idée de la direction et de ses continuations possibles.
Je mets un témoin à l’entrée et après quelques photos de cette source à l’eau limpide, nous reprenons sans conviction notre quête pour notre repas de ce soir. Nous en salivons d’avance !
Notre quête nous mène au fond de la Combe des Cellerons.
Voyant le soleil frapper ces belles falaises de calcaire blanc nous décidons de les longer.
Cette piste d’animaux n’est pas facile à suivre ! Nous tombons tout de même sur une petite grotte dont le profil est particulièrement engageant.
Malheureusement ce petit trou en as de pique est bien vite colmaté par un remplissage d’argile.
De retour à la source, nous constatons que l’eau a monté de 2 centimètres et qu’elle est en passe d’atteindre le chemin environ 40 mètres plus loin.
De retour à notre point de départ, nous en profitons, avant de rentrer à la maison, de passer voir le Ruis-Blanc.
Le lieu est superbe mais un peu trop couru !
Je suis impressionné par la crue. L’eau est laiteuse et charrie tout ce qui se trouve sur son chemin.
Pas de morilles là non plus donc pas de fondue pour ce soir.
Nous rentrons comme à notre habitude par le chemin des écoliers : les falaises de Baulme la Roche et toutes les cavités alentours, le lac de Mâlain.
Laurent"
"Florence et Laurent GARNIER"
Compte-rendu :
"Nous sommes partis vers 15h de l’après-midi en voyant que le temps devenait plus radieux.
Dès notre départ de Marsannay, une pluie de grêlons nous cueille dans la montée de Corcelles-les-Monts.
Arrivé sur la montagne, le beau temps nous rattrape et ne nous quittera plus de la journée.
Morilles de la Combe Mialle |
Nous nous rendons donc dans le Val-Suzon à la recherche d’une combe humide et nous nous retrouvons tout naturellement à gravir la Combe de Vaux de Roche.
Dès notre arrivée dans le val, nous constatons que le Suzon est en crue boueuse.
Nous le traversons sur un gué sans nous mouiller, simple poteau électrique en béton posé en travers de la rivière.
Les prés alentours ruissellent d’eau limpide.
Nous abordons le début de la combe qui est bien humide contrairement à l’an dernier.
C’est à cet endroit que nous commençons à fouler la forêt de long en large à la recherche de ces précieuses morilles tant convoitées.
Il fait frais en ces lieux et bizarrement aucune odeur de champignon ne vien effleurer nos narines.
En contrepartie, d’innombrables traces de sangliers démontrent formellement que ces derniers ont passé un certain temps à faire des repas pantagruéliques.
Déçus mais pleins d’entrain, nous décidons de continuer notre balade en amont.
Soudain, le ruisseau ne coule plus, il sort simplement d’un trou rempli de gravillons.
Nous continuons donc notre vaine recherche jusqu’à la source que nous avons pompé et désobstrué l’an passé.
Visiblement nous arrivons juste à temps pour la voir déborder, elle qui, habituellement, est à un mètre sous la surface du sol !
L’eau ruisselle et s’infiltre à travers le remblai de la combe. Tout de même on la voit bien qui avance dans son lit pour rejoindre petit à petit le chemin de gravillons.
Si seulement cette cavité avait un prolongement notable. Un coup de baguette serait certainement nécessaire pour se donner une idée de la direction et de ses continuations possibles.
Je mets un témoin à l’entrée et après quelques photos de cette source à l’eau limpide, nous reprenons sans conviction notre quête pour notre repas de ce soir. Nous en salivons d’avance !
Notre quête nous mène au fond de la Combe des Cellerons.
Voyant le soleil frapper ces belles falaises de calcaire blanc nous décidons de les longer.
Cette piste d’animaux n’est pas facile à suivre ! Nous tombons tout de même sur une petite grotte dont le profil est particulièrement engageant.
Malheureusement ce petit trou en as de pique est bien vite colmaté par un remplissage d’argile.
De retour à la source, nous constatons que l’eau a monté de 2 centimètres et qu’elle est en passe d’atteindre le chemin environ 40 mètres plus loin.
Morilles de la Combe Mialle |
De retour à notre point de départ, nous en profitons, avant de rentrer à la maison, de passer voir le Ruis-Blanc.
Le lieu est superbe mais un peu trop couru !
Je suis impressionné par la crue. L’eau est laiteuse et charrie tout ce qui se trouve sur son chemin.
Pas de morilles là non plus donc pas de fondue pour ce soir.
Nous rentrons comme à notre habitude par le chemin des écoliers : les falaises de Baulme la Roche et toutes les cavités alentours, le lac de Mâlain.
Laurent"
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