dimanche 30 septembre 2012

Peuptu de la Combe Chaignay - Vernot (21)

Présents : "Jean François DECORSE, Cathy, Xavier GAMBA et leurs 2 enfants, Bastien (13 ans), Rémy (15 ans)"

Compte-rendu :
"Objectifs :
• Visite de la galerie supérieure afin de voir la colonie de chauves-souris.
• Exercices sur cordes, (remontée, passage de fractios)

Arrivée à la maison forestière vers 10h, équipement de tout le monde, léger brif sur la cavité, topo, et respect de la zone de silence pour ne pas déranger les chauves-souris.
Départ par l’entrée basse, passage bas et méandre pour se préparer à l’escalade au bout de la galerie, puis traversée impressionnante pour les plus jeunes.
Surprise pour moi qui n’étais pas revenu depuis 15 ans, il ne reste que quelques chauves-souris à observer. Mais nous sommes entre deux saisons , l’estive et l’hibernation
De retour nous côtoyons quand même quelques spécimens bien cachés près de la sortie basse.

Une fois sortis, nous sommes partis repérer l’entrée supérieure mais les enfants, très fatigués ont préféré retourner à la voiture, pour casser la croûte.

La sortie s’est terminée par une visite des entrées du Soucy, et de la Combe"

"Jean François"

dimanche 23 septembre 2012

Week-end en Haute Marne - 23 Septembre 2012

Présents : "Jean-François DECORSE"

Compte-rendu :
"Le dimanche à force de tourner en rond je décide d’aller me rafraîchir à la Peute fosse (52). Facile la cavité est à 10 kms de la maison……..
La neo, prête, l’éclairage, masque et tuba, prêt a rejoindre la ferme abandonnée qui sert de parking (attention penser à demander l’autorisation).
10 min plus tard me voilà à l’aplomb de l’entrée. Je m’équipe ,pas de bol la boucle de la fermeture casse, impossible de fermer cette maudite fermeture . Tant pis j’y suis j’y reste !

Courte désescalade, et me voilà face à l’entrée amont, allongé, prêt à ramper dans l’eau glaciale. Maudite fermeture, l’eau rentre, pas agréable, brrrr

J’arrive au niveau du pont de pierre,
Une petite photo, et plouf ! une petite séance de natation dans une eau limpide et c’est reparti pour la suite.

J’essaie de trouver des poissons mais ce ne sera pas pour cette fois ci, juste des Niphargus bien décolorés.

Puis c’est le siphon ou voûte mouillante au choix, ce n’est qu’une lame à passer. Une bonne inspiration et hop me voilà de l’autre côté, mais le froid arrive plus vite que prévu, alors demi-tour.
J’en profite pour voir une galerie latérale, barrée habituellement par un siphon.

Sur le chemin du retour, toujours en quête de poissons perdus, je trouve, à 3 mètres de profondeur, 3 bottes ?????? Elles sont bien ou elles sont, il fait trop froid.
Et c’est la sortie au soleil, il est 18h, me voilà rafraîchi pour la semaine.

Ps : La cavité se trouve à 10 Kms de la maison, il est toujours possible d’héberger du monde. Le week-end peut se compléter par une séance escalade dans la foulée"

"Jean-François"

samedi 15 septembre 2012

Canyon - Coiserette et Vulvoz (39)

Présents : "Thierry BINSSE, Jean-Louis THEURET, Michel BON, Thomas BINSSE, Benoit et Béatrice BOULANGER"

Compte-rendu :


"Il y a quelques années en arrière, pas bien longtemps mais quand même, Thomas avait déclaré à son père, qu’il serait bien qu’il partage avec lui une activité de sa passion, au choix la spéléo ou le canyoning…

Thierry n’étant pas spécialement partant pour aller sous terre, accepta une première initiation canyoning… Et maintenant, ils essayent de s’organiser une fois par an, une sortie père-fils canyoning.






Ce samedi 15 septembre, Thierry est venu nous chercher chez nous, à 7h30. Le rendez-vous avec ses deux copains étaient fixés à 8h après l’entrée du péage. Après avoir retrouvé tout le monde, et fait la route ensemble, nous nous arrêtons dans un petit café de village du Jura. Jean-Louis nous offre gentiment les croissants et le café. Le soleil met du temps à se lever, le ciel reste encore voilé. Aujourd’hui, Thomas a décidé de nous emmener faire une jolie balade dans Coiserette, et de nous amuser dans Vulvoz. Il est environ dix heures lorsque nous arrivons sur le parking de Coiserette. Il y a des voitures déjà stationnées. Nous aurons donc de la compagnie.
Chacun s’habille assez vite, c’est la dernière fois que nous enfilons les néo pour la saison. Finalement, nous passons devant les autres canyoneurs. Thomas équipe la première cascade. Je pars en tête, avec appareil photo en main. L’eau est super froide ! Le ton est donné. L’ambiance est très agréable, le soleil illumine le canyon, la journée s’annonce super. L’équipe avance bien, les descentes sont rapides.


On arrive facilement dans la partie marche du canyon.

Il se trouve que le canyon est encombré et que les trous sont difficilement repérables.

Soudain, Michel se fait mal à la cheville.

Il s’est coincé le pied dans un trou avec un rocher, il a tiré et résultat, c’est douloureux.

Benoit se fait mal au genou au même endroit.

Bon la balade s’annonce bien… Remarque, nos deux blessés galopent tout de même comme des lapins, loin devant nous…


Coiserette est fait en deux heures. Lorsque nous sortons et retrouvons
la route, et les voitures, la cheville de Michel ne s’est pas arrangée et il est l’heure de manger.
Nous décidons de pique-niquer sur place et de nous rendre après à Vulvoz. Malgré sa blessure, Michel est emballé par la sortie.



Il préfère ne pas descendre Vulvoz afin de ne pas empirer l’état de sa cheville mais il est partant pour une future balade.

Après le repas, nous reprenons la route pour aller faire le canyon le plus ludique (et le plus petit) que je connaisse : Vulvoz.

Dur dur de remettre sa combine humide, mais on le fait avec plaisir.







L’eau nous paraît moins froide qu’à Coiserette. Nous n’hésitons pas à sauter dans les petits ressauts qui composent Vulvoz et sauter plusieurs fois dans la cuvette avant la grande cascade.



La bonne humeur est toujours au rendez-vous.

Pour les plus courageux, Vulvoz sera fait trois fois.

Moi je m’en tiendrais à deux.

Notre ami Thomas avait sa camera , ce qui nous a permis de faire de jolies vidéos de nos descentes.









Vulvoz est vraiment un joli petit canyon. Il permet de donner de bonnes sensations lors d’initiation, et entre les sauts, la descente qui commence pieds contre paroi pour faire un peu de plein gaz. En plus le cadre est super joli. Cela permet aussi de gérer une hauteur qui peut paraître impressionnante lorsque l’on emmène des personnes en initiation et qui n’ont pas l’habitude de faire du rappel. On passe toujours un bon moment là-bas.
En tout cas, je peux vous certifier que c’est dans ce genre d’aventures que l’on découvre mieux les personnes qui nous entourent. Les moments passés ensemble seront des souvenirs inoubliables et l’on aura envie de faire de nouvelles sorties.

Je pense que malgré le petit accident de Michel, nous aurons tous passé un excellent moment ensemble. Et que l’année prochaine, à la même époque, je pourrais vous écrire un autre compte rendu, avec les mêmes participants, mais sur un autre canyon…"






"Béatrice"

dimanche 2 septembre 2012

Gouffre de Poudrey - Etalant (25)

Présents : "Bastien DUPIN, Guillaume DRESCHER"

Compte-rendu :
"Ayant une affaire dans les coins de Besançon ce dimanche matin nous décidons de pousser un peu plus loin dans le Doubs et d’aller faire la Via-Ferrata de Charquemont, les Echelles de la Mort.

Arrivés sur place le doute se confirme, la station de location de matos est fermée pour cause d’intempéries … Sur le chemin du retour notre attention est attirée par ce gros point sur la carte, Gouffre de Poudrey. Garés, le ticket en main, nous attendons le tour de la prochaine visite, eh oui c’est un gouffre à touristes ! La descente se fait par un escalier métallique assez raide qui nous amène sur un palier duquel on aperçoit l’unique salle qui compose le gouffre. Mais quelle salle, 130m de largeur, 40m de plafond au plus haut et 1 million de mètres cube de volume. Le guide nous trimbale au gré du chemin bétonné. Les bords sont pleins de concrétions dont une grosse bassine ici depuis 50 ans et totalement pétrifiée dans le calcaire. Les éclairages sont plutôt réussis ainsi que le petit spectacle son et lumière, le guide était sympa et comique, il clôt la visite par la présentation d’une concrétion ferrugineuse à bout plat qui sort du plafond, mystère…

Bref, à voir si vous passez dans le coin car ça vaut quand même le coup d’œil, prévoir le k.w et les bottes, ça mouille."

"Guillaume"