Présents : "Christophe Durlet, Sébastien Couette"
Compte-rendu :
"Par une matinée fraîche et enneigée, nous allons, Christophe et moi à l’école d’escalade d’Ahuy pour une petite remise en jambe. Mon niveau de spéléo est bas et je n’ai pas touché de mousqueton depuis 2 ans.
Nous choisissons un endroit sur la falaise qui puisse nous permettre de faire des fractionnements et des déviations. Christophe équipe pendant que j’essaie de me remémorer comment mettre mon baudrier et les divers accessoires qui vont avec. Christophe a installé 3 fractionnements et 2 déviations sur les 10 m de falaise. Il descend et regarde ce que je fais, c’est donc a moi de me mettre sur la corde. La descente n’est pas très difficile, mais j’essaie de la faire proprement, sans m’entortiller dans tous les sens. Ça passe mais c’est un peu laborieux. Arrivé en bas, il n’y a plus qu’à remonter. Plus difficile pour moi qui, comme d’habitude utilise trop les bras au dépend des jambes. J’arrive tout de même en haut, mais Christophe me propose de refaire une descente et une montée car il constate bien que je ne suis pas très à l’aise. La deuxième série se fait beaucoup mieux, j’évite quelques erreurs commises la première fois. J’ai de meilleures sensations. Le clocher d’Ahuy sonne midi quand nous remballons. Je repars le sourire aux lèvres."
Compte-rendu :
"Par une matinée fraîche et enneigée, nous allons, Christophe et moi à l’école d’escalade d’Ahuy pour une petite remise en jambe. Mon niveau de spéléo est bas et je n’ai pas touché de mousqueton depuis 2 ans.
Nous choisissons un endroit sur la falaise qui puisse nous permettre de faire des fractionnements et des déviations. Christophe équipe pendant que j’essaie de me remémorer comment mettre mon baudrier et les divers accessoires qui vont avec. Christophe a installé 3 fractionnements et 2 déviations sur les 10 m de falaise. Il descend et regarde ce que je fais, c’est donc a moi de me mettre sur la corde. La descente n’est pas très difficile, mais j’essaie de la faire proprement, sans m’entortiller dans tous les sens. Ça passe mais c’est un peu laborieux. Arrivé en bas, il n’y a plus qu’à remonter. Plus difficile pour moi qui, comme d’habitude utilise trop les bras au dépend des jambes. J’arrive tout de même en haut, mais Christophe me propose de refaire une descente et une montée car il constate bien que je ne suis pas très à l’aise. La deuxième série se fait beaucoup mieux, j’évite quelques erreurs commises la première fois. J’ai de meilleures sensations. Le clocher d’Ahuy sonne midi quand nous remballons. Je repars le sourire aux lèvres."
"Sébastien Couette"