Gens du voyage : "François PORNET, Pascal LEVOYET, Franck et Anaïs BELPERRON + François (le copain), Jean-François DECORSE, Frédérique AMOROS, Laurent Florence AnaÏs et Clément GARNIER"
Compte-rendu :
"C’est par un merveilleux et ensoleillé samedi que nous nous retrouvons à 07h15 à la gare de Dijon pour prendre le train direction Paris Bercy. L’équipe au complet est au rendez vous : bebere, gegene, nenesse, le fanfan, la fifoune et vevette. Nous montons aussitôt dans le train qui se met en branle ; et nous aussi…
Arrivés 3 heures plus tard à Paris, le groupe se divise en deux : les musclés d’un cotés, les poilues épilées de l’autre. Chacun a ses objectifs : les musclés feront du muscle, les poilues épilées de la brioche… dorée.
Concentrons nous d’abord sur les musclés.
Arrivés sur place par un escalator et à part un abruti sorti de sa brousse qui le prendra à l’envers, tout se déroule comme convenu. Devant les caisses un affolement passager nous affublera de deux places supplémentaires que nous revendons quelques instants plus tard à deux personnes simples d’esprit au double du prix d’achat. La malhonnêteté n’a pas de limite ! Enfin !nous voila arrivés à pied d’œuvre .De multiples stands nous accueillent les bras ouverts ; d’autres les palmes ouvertes. On nous propose des tubes, ah !des combinaisons, des plombs, des instruments bizarres autant qu’étranges calculant, mesurant tout ce qui est possible de mesurer !enfin quoi, en un mot comme en cent, on se serait cru au salon de l’érotisme. Malgré cet appel de la chair grandissant, les musclés ne tardèrent pas à avoir grand faim. Là, sur place, cervoises, sangliers, poulardes, perdrix, hydromels et autres agapes nous furent livrés contre quelques écus. En parlant d’écus, il faut vous signaler également la présence de charmantes et plantureuses hôtesses qui par leurs charmes professionnels et leurs gestes calculés (ou le contraire) soulagèrent nos bourses… de quelques écus. Après quelques heures de ce doux repos et bien vidés nous reprîmes le chemin de la sortie.
Nous nous dirigeâmes alors vers la vieille tante pour acheter des campeurs. Ou plutôt le contraire vers le vieux campeur pour acheter des tentes et autres matériels de camping. En tout cas tente ou pas tante 95 pour cent de François était là…
La journée touchant à sa fin nous retrouvâmes les poilues épilées où nous les avions laissées le matin même …à la brioche dorée . Que conclure ? Certaines légendes urbaines racontent qu’on les aurait aperçues sous la tour Eiffel ou sur les Champs Elysées. Sans preuve tangible, nous ne conjecturerons pas.
Après ce compte rendu réalisé avec la plus grande honnêteté, j'espère vous retrouver dans de nouvelles aventures."
Compte-rendu :
"C’est par un merveilleux et ensoleillé samedi que nous nous retrouvons à 07h15 à la gare de Dijon pour prendre le train direction Paris Bercy. L’équipe au complet est au rendez vous : bebere, gegene, nenesse, le fanfan, la fifoune et vevette. Nous montons aussitôt dans le train qui se met en branle ; et nous aussi…
Arrivés 3 heures plus tard à Paris, le groupe se divise en deux : les musclés d’un cotés, les poilues épilées de l’autre. Chacun a ses objectifs : les musclés feront du muscle, les poilues épilées de la brioche… dorée.
Concentrons nous d’abord sur les musclés.
Arrivés sur place par un escalator et à part un abruti sorti de sa brousse qui le prendra à l’envers, tout se déroule comme convenu. Devant les caisses un affolement passager nous affublera de deux places supplémentaires que nous revendons quelques instants plus tard à deux personnes simples d’esprit au double du prix d’achat. La malhonnêteté n’a pas de limite ! Enfin !nous voila arrivés à pied d’œuvre .De multiples stands nous accueillent les bras ouverts ; d’autres les palmes ouvertes. On nous propose des tubes, ah !des combinaisons, des plombs, des instruments bizarres autant qu’étranges calculant, mesurant tout ce qui est possible de mesurer !enfin quoi, en un mot comme en cent, on se serait cru au salon de l’érotisme. Malgré cet appel de la chair grandissant, les musclés ne tardèrent pas à avoir grand faim. Là, sur place, cervoises, sangliers, poulardes, perdrix, hydromels et autres agapes nous furent livrés contre quelques écus. En parlant d’écus, il faut vous signaler également la présence de charmantes et plantureuses hôtesses qui par leurs charmes professionnels et leurs gestes calculés (ou le contraire) soulagèrent nos bourses… de quelques écus. Après quelques heures de ce doux repos et bien vidés nous reprîmes le chemin de la sortie.
Nous nous dirigeâmes alors vers la vieille tante pour acheter des campeurs. Ou plutôt le contraire vers le vieux campeur pour acheter des tentes et autres matériels de camping. En tout cas tente ou pas tante 95 pour cent de François était là…
La journée touchant à sa fin nous retrouvâmes les poilues épilées où nous les avions laissées le matin même …à la brioche dorée . Que conclure ? Certaines légendes urbaines racontent qu’on les aurait aperçues sous la tour Eiffel ou sur les Champs Elysées. Sans preuve tangible, nous ne conjecturerons pas.
Après ce compte rendu réalisé avec la plus grande honnêteté, j'espère vous retrouver dans de nouvelles aventures."
"Iznogoud Levoyet"
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