Présents : "Thomas BINSSE – Béatrice BOULANGER"
Compte-rendu :
"Objectif : initiatrice 2013
Ce samedi 20 octobre, Thomas et moi décidons de nous organiser une petite sortie à la Combe Aux Prêtres. L’objectif de cette sortie n’est pas une balade au fond de la Combe mais un bon après midi de technique pure et dure.
Eh oui, c’est moi qui équipe.
Première étape, Thomas me rappelle ou plutôt me demande quelles sont les règles de sécurité lors de l’équipement d’un puits. Après quelques boutades et de véritables explications, je suis prête à équiper. Oup’s, je n’ai pas révisé mes nœuds… Quel nœud fait-on en tête de puits ? J’ai beau réfléchir, je ne sais plus. Thomas me montre. Une fois. J’essaye. Loupé. Deux fois. J’ai compris, ah non, je croyais. Il me remontre. et enfin ! Miracle ! Mon nœud est parfait… ! Je descends. Thomas utilise la corde des spéléos déjà sous terre, ni vu, ni connu.
Arrivée au passage de la main courante, Thomas me demande ce que je dois faire. Bonne réponse de ma part. Quel nœud fait-on ? Euh bah, je sais que ce n’est pas un nœud de Mickey… Bien joué… ! Thomas me montre ce que lui et les garçons font souvent pour gagner du temps ; c’est un nœud rapide à faire, facile à régler, et quand on part pour de longues expéditions sous terre, très pratique. Voilà, ma main courante est donc bien équipée, ma corde tendue convenablement. Bref, tout se passe comme sur des roulettes. Nous passons au puits suivant. Thomas me rappelle pour me montrer une énorme araignée !!!! Je reprends ma route. Thomas vérifie chaque point, chaque nœud. On arrive au dessus du grand puits et nous décidons de nous arrêter là. Pour moi, ça suffit. Pas la peine de me donner mille et une techniques si c’est pour les oublier dès que je suis sortie. Nous révisons quand même la technique de conversion, ou du moins Thomas me remontre car celle qu’il m’a vue faire était fausse. Je déséquipe toute seule, comme une grande. Quand j’arrive à la surface, nous débriefons.
Thomas est assez surpris de cette « vraie » première sortie en équipement. Il pensait que j’aurai plus de mal, et que je mettrais davantage de temps. Pour ma part, je suis bien contente, je pense m’en être correctement sortie. Mettre le pied à l’étrier avec l’objectif d’être initiatrice en 2013, et bien je pense que c’est une excellente motivation…
Prochaine fois que j’équipe : dans 15 jours…"
Compte-rendu :
"Objectif : initiatrice 2013
Ce samedi 20 octobre, Thomas et moi décidons de nous organiser une petite sortie à la Combe Aux Prêtres. L’objectif de cette sortie n’est pas une balade au fond de la Combe mais un bon après midi de technique pure et dure.
Eh oui, c’est moi qui équipe.
Première étape, Thomas me rappelle ou plutôt me demande quelles sont les règles de sécurité lors de l’équipement d’un puits. Après quelques boutades et de véritables explications, je suis prête à équiper. Oup’s, je n’ai pas révisé mes nœuds… Quel nœud fait-on en tête de puits ? J’ai beau réfléchir, je ne sais plus. Thomas me montre. Une fois. J’essaye. Loupé. Deux fois. J’ai compris, ah non, je croyais. Il me remontre. et enfin ! Miracle ! Mon nœud est parfait… ! Je descends. Thomas utilise la corde des spéléos déjà sous terre, ni vu, ni connu.
Arrivée au passage de la main courante, Thomas me demande ce que je dois faire. Bonne réponse de ma part. Quel nœud fait-on ? Euh bah, je sais que ce n’est pas un nœud de Mickey… Bien joué… ! Thomas me montre ce que lui et les garçons font souvent pour gagner du temps ; c’est un nœud rapide à faire, facile à régler, et quand on part pour de longues expéditions sous terre, très pratique. Voilà, ma main courante est donc bien équipée, ma corde tendue convenablement. Bref, tout se passe comme sur des roulettes. Nous passons au puits suivant. Thomas me rappelle pour me montrer une énorme araignée !!!! Je reprends ma route. Thomas vérifie chaque point, chaque nœud. On arrive au dessus du grand puits et nous décidons de nous arrêter là. Pour moi, ça suffit. Pas la peine de me donner mille et une techniques si c’est pour les oublier dès que je suis sortie. Nous révisons quand même la technique de conversion, ou du moins Thomas me remontre car celle qu’il m’a vue faire était fausse. Je déséquipe toute seule, comme une grande. Quand j’arrive à la surface, nous débriefons.
Thomas est assez surpris de cette « vraie » première sortie en équipement. Il pensait que j’aurai plus de mal, et que je mettrais davantage de temps. Pour ma part, je suis bien contente, je pense m’en être correctement sortie. Mettre le pied à l’étrier avec l’objectif d’être initiatrice en 2013, et bien je pense que c’est une excellente motivation…
Prochaine fois que j’équipe : dans 15 jours…"
"Béatrice"
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