Présents : "Anne-Sophie DEVILLARD, David FREY, Antoine CLAERBOUT, Mathieu CLAERBOUT"
Compte-rendu :
"En préambule, je vais situer un peu les personnes présentes, David est le frère de ma chérie, Antoine est mon frère et enfin Anne-So est sa chérie.
Ce qui ressemble de loin à une sortie en famille, n’est autre qu’un entraînement physique à une prochaine descente dans le mythique réseau du NEUVON.
Cette course représente un engagement par le gaz que l’on peut y trouver et par la durée. Pour une sortie dans le Neuvon, ce sont deux des conditions qu’il faut prendre en compte.
Le vendredi soir, on claque la porte du bureau et c’est parti. Après 3h30 de route, on arrive à La Balme de Rencurel. La température y est agréable, contrairement à celle que l’on a laissée dans la vallée.
La soirée est douce et studieuse sous le regard du Chalimont. En effet, nous étudions un peu la topo pour le lendemain et la route que l’on va devoir suivre.
Le réveil est efficace et on se retrouve tous les quatre au petit déjeuner. Les sacs sont prêts, le pique nique emballé et on reprend la route.
Une heure trente plus tard on est au pied de la marche d’approche du Mont Aiguille. Dans nos souvenirs, elle n’était pas si dure que ça.
On prend quand même 500 m de dénivelé dans les dents.
Histoire de ne pas changer nos habitudes, on est la dernière cordée à prendre la voie.
Cette fois ci, nous avons opté pour une progression en cordée. L’ascension se fait en 3h30 environ, après quelques suées et quelques frayeurs, on débouche au sommet par la cheminée terminale de la voie normale.
La plaine sommitale est toujours aussi belle, on en fait le tour pour profiter de tous les points de vue et on casse la croûte.
La descente se fait tout doucement, la ligne n’est pas bien indiquée du tout, heureusement que l’on avait une topo qui datait mais bien détaillée. On se fait quelques longueurs pour atteindre le relais du rappel de 45 mètres surplombant qui finit la sortie en beauté.
La marche de retour est beaucoup plus confortable que celle d’approche, après une partie en courant dans un pierrier la balade se finit dans un sous-bois.
Après 11 heures d’exercice, je me dis qu’ils sont bien capables de faire une sortie de 6 heures dans une cavité. Il ne reste plus qu’à adapter les techniques et le matériel, les bonhommes s’adapterons à l’environnement.
La soirée à la maison fut bien courte et la nuit réparatrice.
Le dimanche, alerte à la canicule, on penche pour un bain avant la route de retour dans le bas des Ecouges, pas le canyon mais encore plus bas, au Moléron.
Cette étape nous a bien rafraîchis et permis d’aborder un week-end rouge pour bison futé."
Compte-rendu :
"En préambule, je vais situer un peu les personnes présentes, David est le frère de ma chérie, Antoine est mon frère et enfin Anne-So est sa chérie.
Ce qui ressemble de loin à une sortie en famille, n’est autre qu’un entraînement physique à une prochaine descente dans le mythique réseau du NEUVON.
Cette course représente un engagement par le gaz que l’on peut y trouver et par la durée. Pour une sortie dans le Neuvon, ce sont deux des conditions qu’il faut prendre en compte.
Le vendredi soir, on claque la porte du bureau et c’est parti. Après 3h30 de route, on arrive à La Balme de Rencurel. La température y est agréable, contrairement à celle que l’on a laissée dans la vallée.
La soirée est douce et studieuse sous le regard du Chalimont. En effet, nous étudions un peu la topo pour le lendemain et la route que l’on va devoir suivre.
Le réveil est efficace et on se retrouve tous les quatre au petit déjeuner. Les sacs sont prêts, le pique nique emballé et on reprend la route.
Une heure trente plus tard on est au pied de la marche d’approche du Mont Aiguille. Dans nos souvenirs, elle n’était pas si dure que ça.
On prend quand même 500 m de dénivelé dans les dents.
Histoire de ne pas changer nos habitudes, on est la dernière cordée à prendre la voie.
Cette fois ci, nous avons opté pour une progression en cordée. L’ascension se fait en 3h30 environ, après quelques suées et quelques frayeurs, on débouche au sommet par la cheminée terminale de la voie normale.
La plaine sommitale est toujours aussi belle, on en fait le tour pour profiter de tous les points de vue et on casse la croûte.
La descente se fait tout doucement, la ligne n’est pas bien indiquée du tout, heureusement que l’on avait une topo qui datait mais bien détaillée. On se fait quelques longueurs pour atteindre le relais du rappel de 45 mètres surplombant qui finit la sortie en beauté.
La marche de retour est beaucoup plus confortable que celle d’approche, après une partie en courant dans un pierrier la balade se finit dans un sous-bois.
Après 11 heures d’exercice, je me dis qu’ils sont bien capables de faire une sortie de 6 heures dans une cavité. Il ne reste plus qu’à adapter les techniques et le matériel, les bonhommes s’adapterons à l’environnement.
La soirée à la maison fut bien courte et la nuit réparatrice.
Le dimanche, alerte à la canicule, on penche pour un bain avant la route de retour dans le bas des Ecouges, pas le canyon mais encore plus bas, au Moléron.
Cette étape nous a bien rafraîchis et permis d’aborder un week-end rouge pour bison futé."
"Mathieu Claerbout"
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